Maintenant, nous verrons l'intelligence artificielle faible dit descendante, une intelligence spécifique dans son domaine et sa Robotique.
La notion d’intelligence artificielle faible constitue une approche pragmatique d’ingénieur : chercher à construire des systèmes de plus en plus autonomes (pour réduire le coût de leur supervision), des algorithmes capables de résoudre des problèmes d’une certaine classe, etc. Mais, cette fois, la machine simule l'intelligence, elle semble agir comme si elle était intelligente. On en voit des exemples concrets avec les programmes conversationnels qui tentent de passer le test de Turing, comme ELIZA. Ces logiciels parviennent à imiter de façon grossière le comportement d'humains face à d'autres humains lors d'un dialogue.
La notion d’intelligence artificielle faible constitue une approche pragmatique d’ingénieur : chercher à construire des systèmes de plus en plus autonomes (pour réduire le coût de leur supervision), des algorithmes capables de résoudre des problèmes d’une certaine classe, etc. Mais, cette fois, la machine simule l'intelligence, elle semble agir comme si elle était intelligente. On en voit des exemples concrets avec les programmes conversationnels qui tentent de passer le test de Turing, comme ELIZA. Ces logiciels parviennent à imiter de façon grossière le comportement d'humains face à d'autres humains lors d'un dialogue.
Joseph Weizenbaum, créateur du programme ELIZA, met en garde le public dans son ouvrage Computer Power and Human Reason :
si ces programmes « semblent » intelligents, ils ne le sont pas : ELIZA
simule très grossièrement un psychologue en relevant immédiatement
toute mention du père ou de la mère, en demandant des détails sur tel
élément de phrase et en écrivant de temps en temps "Je comprends.", mais
son auteur rappelle il s'agit d'une simple mystification : le programme
ne comprend en réalité rien.
Les tenants de l'IA forte admettent que s'il y a bien dans ce cas
simple simulation de comportements intelligents, il est aisé de le
découvrir et qu'on ne peut donc généraliser. En effet, si on ne peut
différencier expérimentalement deux comportements intelligents, celui
d'une machine et celui d'un humain, comment peut-on prétendre que les
deux choses ont des propriétés différentes ? Le terme même de
« simulation de l'intelligence » est contesté et devrait, toujours selon
eux, être remplacé par « reproduction de l'intelligence ».
Les tenants de l'IA faible arguent que la plupart des techniques
actuelles d’intelligence artificielle sont inspirées de leur paradigme.
Ce serait par exemple la démarche utilisée par IBM dans son projet nommé Autonomic computing. La controverse persiste néanmoins avec les tenants de l'IA forte qui contestent cette interprétation.
Simple évolution, donc, et non révolution : l’intelligence
artificielle s’inscrit à ce compte dans la droite succession de ce
qu’ont été la recherche opérationnelle dans les années 1960, la supervision (en anglais : process control) dans les années 1970, l’aide à la décision dans les années 1980 et le data mining dans les années 1990. Et, qui plus est, avec une certaine continuité.
Il s'agit surtout d'intelligence humaine reconstituée, et de programmation ad hoc d'un apprentissage, sans qu'une théorie unificatrice n'existe pour le moment (2011). Le Théorème de Cox-Jaynes
indique toutefois, ce qui est un résultat fort, que sous cinq
contraintes raisonnables, tout procédé d'apprentissage devra être soit
conforme à l'inférence bayésienne, soit incohérent à terme,donc
inefficace16.
A
l’heure actuelle, l’intelligence artificielle occupe une place
importante dans la recherche sur les systèmes complexes, la
reconnaissance de la parole, de l’écriture et des visages, les
réseaux neuronaux ou encore la robotique.
L’intelligence
artificielle a pris une place non négligeable dans notre quotidien
sans que nous nous en rendions vraiment compte : reconnaissance
vocale, correcteur orthographique, jeux vidéo, moteurs de
recherches,un robot qui danse, fait la vaisselle, ou
soigne les malades, etc …
Non
ce n’est déjà plus vraiment de la science-fiction.
Ses
machines intelligentes font déjà parti de notre vie
quotidienne.
En 1999, crée
par la firme Sony au Japon, Aibo est un chien robot produit à
quelque milliers d'exemplaires et vendu uniquement au Japon et aux
États unies. Aibo peut se déplacer, voir tout autour de lui et
reconnaître des commandes vocales. Il est considéré comme étant
un robot autonome, il n'obéit pas systématiquement aux ordres, et
peut apprendre et mûrir sous la conduite de son propriétaire.
En
France, La société Robopolis réalise l’essentiel de son chiffre
d’affaire avec des robots domestiques qu'il vende sur leur boutique
en ligne, le best-seller est l’aspirateur autonome Roomba. Ce petit
appareil en forme de frisbee aspire des poussières de façon
méthodique, passant sous le lit, s’arrêtant devant les obstacles
tel que les meubles et allant régulièrement se recharger sur sa
borne.
L'aspirateur,
le
Roomba,
qui est devenu l'un des premier robot à pouvoir vivre a la maison »
Les jeux vidéos aussi s'aide de l'intelligence artificielle. C'est un passage obligatoire dans la réalisation d'un jeu possédant des interactions avec l’ordinateur ou des interactions réalistes avec d'autres personnages non joueurs.C’est pour cela que l’IA est utilisée pour animer des personnages devant donner une impression d’intelligence par exemple quand un personnage ne fait rien voila algorithme :
Action(Hdr) : Rien
Début
entier infos,Act
Act=0 //contient ce doit faire le monstre, 0 signifie : rien
infos=MoteurIA(Hdr.IdMonstre,Hdr.Action,Act) /* l'action informe le moteur 3D de l'identité du monstre, ainsi, le moteur3D sait où il se trouve et peut repérer son environnement géométrique. il va répondre à la fonction Action en fonction de celui-ci : si l'environnement du monstre est propisce à adopter une stratégie spécifique, si il est blessé, etc... Ainsi, la variable infos va contenir des informations relative au monstre lui même et à sa position dans le level.*/
Act=1 // 1 signifie de faire ce qui est indiqué dans Hdr.action
si info!=1 alors
Reflexion(Hdr.IdMonstre,infos,99)
f si
Sinon
MoteurIA(Hdr.IdMonstre,Hdr.Action,Act) //effectue l'action indiquée dans Hdr.Action
F sinon
Tout les moteurs de recherches utilise au moins une sortes d’intelligence artificielle. Toute personne ayant un accès internet a dû utiliser un moteur de recherche, le plus célèbre d'entre eux, Google.Ce moteur de recherche est un exemple d'exploitation de l'intelligence artificielle dans le domaine informatique.
Ses résultats sont basés selon des critères spécifiques (le nombre de visites, le respect de certaines normes web,la langue, le format de la page ou encore la date de publication) afin de récupérer des pages qui sont dans la base de données de Google. Il s'agit d'un type d’intelligence artificielle faible.
Dans le domaine industriel, les entreprises, en vues de ce développer investissent dans les machines industrielles. L’intérêt est de gagner plus d'argent, en effet, un équipement automatisé peut être amorti en très peu de temps, grâce a des réductions de poste ou aux augmentations de cadences, un taylorisme beaucoup plus avancer avec un capital automatisé.
L’IA permet, par exemple, de contribuer à la mise en place des systèmes automatiques simples et répétitifs qui seront plus rapide et efficace que l'Homme.
Dans le domaine militaire de nombreux robots sont utiliser pour simplifier ou aider les militaires sur le terrain avec les systèmes autonomes tels que les drones, et les démineurs.
Predator
Ce Drone sans pilote ramène, de ses vols au-dessus des territoires ennemis, des informations précieuses tel que des photos montrant la configuration du terrain et de la position des troupes adverses.
Il est aussi capable de diffuser un rayonnement électromagnétique qui brouille leurs radars, Predator peut aussi tirer des missiles sur les cibles désignées par ses pilotes au sol.
robot démineur
Comme son nom l'indique se robot permet d'aider les démineurs lors de certaine opération de déminage. Ce robots permettrai au soldat de ne pas risquer sa vie.
Nous pouvons aussi voir dans l'espace, un robot explorant Mars, planète inexplorable pour un être humain normal.
MER-B
Mars Exploration Rover (MER) , renommé en 2004 Opportunity est un robot qui possède une caméra panoramique pour faire des photos et voir de plus prés la surface de Mars, un outil pour brosser la surface des roches porté par un bras articulé.Sur se bras se trouvent également un spectromètre à rayons X, un spectromètre Mössbauer et une caméra microscope. Enfin, un spectromètre infrarouge est utilisé pour l'analyse des roches et de l'atmosphère.
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